Cette véritable introspection de la « matière picturale » marque la révolution accomplie depuis la Renaissance où elle n’avait cessé d’être gommée, cachée, méprisée au profit d’une surface aux glacis transparents avoisinant les effets du miroir. Au XIXème siècle, les artistes vont s’attacher au contraire, à travailler cette matière en lui imprimant une touche personnelle, jusqu’à devenir véritablement « signature de l’artiste ».