Les échanges entre Japon et Occident se construisent entre fascination, méfiance et rupture. Au XIXème siècle, l’introduction en France des estampes japonaises contribue à la découverte d’un nouveau langage plastique. L’usage des aplats de couleur, l’absence de perspective, la simplification formelle, le goût pour le motif floral… sont autant d’éléments qui fascinent les peintres impressionnistes, nabis et symbolistes.